Du mercredi 25 octobre au vendredi 27 octobre, le député guyanais Jean-Victor CASTOR a participé à la semaine d’actions organisée par « Simenn Martinik Doubout – Gaoulé kont klordékon », contre le non-lieu prononcé par la Justice française.
Il a pu exprimer sa solidarité avec la lutte du peuple martiniquais contre le crime.
Il fut interviewé par plusieurs radios et télévisions (RCI, RLDM, Martinique la 1ère télévision, KMT) et il prit la parole à l’occasion de la soirée culturelle organisée par le collectif.
Dans toutes ses interventions ou interviews, il mit en avant la pertinence de la lutte contre le non-lieu dans l’affaire du chlordécone en avançant que « c’est l’homme qui fait la loi et non le contraire », suggérant par là-même que tout combat juste doit être mené jusqu’au bout.
Il informa le public martiniquais à propos de l’empoisonnement des fleuves de Guyane au mercure, catastrophe causée par l’orpaillage clandestin et mettant en péril la santé des populations de l’intérieur.
Il montra également comment l’État français, en mettant tout développement endogène « sous cloche », créait les conditions d’une explosion sociale en Guyane. Le député Jean-Victor CASTOR dénonça fortement le maintien de la Guyane, pays pourtant extrêmement riche au niveau des ressources de tout ordre, dans une dépendance mortifère.
La rédaction